Cavilaciones, escritos de días cualquiera, algunos poemas , algunas de mis novelas, pensamientos en soledad compartida,...¡VISITA MI WEB! EN WWW.ANANAYRAGORRIN.COM

jueves, 23 de abril de 2015

NE SOYEZ PAS RÉSIGNÉ...

 Ne soyez pas résigné.







Tout comme l'amour de soi, la confiance en soi demande des soins attentifs.

 Elle est comme une plante qu'il faut arroser quotidiennement et qui grandit peu à peu.

 Son oxygène, c'est l'action.

 Plus on agit, plus on se rend compte que l'on est capable et plus on gagne de l'assurance.

 Mais pour cela, il faut vaincre deux enemis souvent redoutables:la critique et la résignation.

 Elles sont rapides pour détruire vos bonnes résolutions.

 En vous susurrant à l'oreille des "Tu n'y arriveras pas!" ou des "Tu ne sauras jamais le faire":

  

NO PIENSES COMO YO, PERO RESPETA QUE YO PIENSE DIFERENTE

Soy una independentista cultural, quiero que mi gente sepa de dónde viene, quiénes somos, que conozcamos nuestra cultura guanche (en Tenerife) y prehispana y la amemos y defendamos. Pero también me siento europea y española. Tengo sangre de ambos lados, COMO TODOS LOS CANARIOS, SOMOS MESTIZOS. Por ello no puedo identificarme con un partido que abogue por la independencia pues creo que lo que precisamos es unirnos y no separarnos. Creo en una España FEDERAL y REPUBLICANA, en una sociedad que defienda y promueva los valores de  libertad, igualdad, solidaridad y justicia social.Creo en una sociedad que no sea racista, ni machista, ni homófoba, QUE FOMENTE LA INTERCULTURALIDAD Y EL RESPETO AL PRÓJIMO. 

 Corruptos siempre han habido y siempre habrá y como expone María Dolores Pelayo Duque en la intervención que abajo expongo, hay que luchar por ello siempre.





 Siempre hay un partido político de cuyo ideario te puedes sentir más o menos identificado. Yo claramente en mi ideario me identifico con el PSOE, desde que formé mi opinión política. Con mis raíces marxistas y previamente independentistas (hasta que me di cuenta de que no hay que separarse más sino unirse, que en la unión está la fuerza y de que los seres humanos lo que debemos de hacer es integrarnos y no disgregarnos más ni levantar más murallas entre nosotros).

 No creo en la Monarquía, me parece un gasto estúpido de dinero para un Estado, simplemente por mantener un símbolo que para nada sirve. Vean copiando y pegando en barra direccional este post de mi blog al respecto:

 http://www.ananayra.blogspot.com.es/2014/07/leo-mucho-por-eso-soy-republicana.html

 Y creo que un Estado Federal es la solución para ESPAÑA, tan diferente en sus diferentes Comunidades Autónomas. Y sobre esto, dejo aquí otro link a mi blog:

 http://www.ananayra.blogspot.com.es/2011/05/mentiras-reiteradas-son-verdades.html

 Quien no comparta mis ideas, le respeto. Siempre escucho al prójimo con consideración sin despreciar jamás su criterio. Pero yo tengo mi opinión formada en muchos aspectos socio-políticos, fruto de experimentar las cosas en carne y mente propia y de haber participado activamente en foros políticos en La Universidad de La Laguna. Cada uno es libre de pensar y de expresarse como quiera y no debo permitir que se me calle la boca o se me amenace jamás por expresar mis ideas y opiniones. 

 DICHO QUEDA...







ANA NAYRA GORRÍN NAVARRO.
EN LOS GIGANTES, A JUEVES 23 DE ABRIL DE 2015.



A LA SOMBRA DEL BAMBÚ

 Cuando era niña, una de las casas vecinas aledaña a la nuestra tenían en su jardín trasero un bambú. Un árbol majestuoso que de lo grande se expandía hacia nuestro jardín por encima del muro de nuestra casa. Y nos hacía la función de toldo natural en la mitad de nuestro jardín.




Recuerdo pasarme horas enteras bajo su sombra, sentada sobre la hierba de nuestro jardín y leyendo un libro. De niña me leí todos y cada uno de los libros de la colección EL BARCO DE VAPOR, para todas las edades (desde los 7 años hasta los 14 años) no me quedó un título de esa colección que no me leyera. Todos esos libros aún están en cajas en el trastero de mi casa y, poco a poco, los voy rescatando para lectura de mi hijo hoy en día. 

 HOY DÍA 23 DE ABRIL día del libro quisiera hacer una pausa y escribir sobre los buenos momentos que pasaba yo leyendo bajo la sombra de aquél árbol bambú. Recuerdo su olor, el tacto áspero de sus hojas y la suavidad y textura de cada uno de los troncos que lo conformaban. ¡Qué pena que lo arrancaran! ¡Cuántas tardes de soledad pasé yo bajo sus ramas! 

Mi infancia se llenó de las aventuras de los personajes de los libros que leía. Mi imaginación comenzó a labrarse ahí. 

¡Qué importante es leer! Nunca hay que olvidarse de darle alimento al alma. ¡¡FELIZ DÍA DEL LIBRO LECTORES!! 




lunes, 13 de abril de 2015

PROJECT NATIONALITÉS FRANÇAIS A1 UOC

LA NATIONALITÉ JAPONAISE

(Projet développé par Ana Perpiñá Madern et Ana Nayra Gorrín Navarro)
Tokyo anciennement Edo  officiellement la préfecture métropolitaine de Tokyo  est la capitale du Japon. Avec plus de 13 millions d'habitants intra-muros en 2013 et environ 37,7 millions dans l'agglomération, elle forme l'aire urbaine la plus peuplée au monde. Située sur la côte est de l'île principale de l'archipel japonais, Honshū, Tokyo est l'une des quarante-sept préfectures du Japon. Principal centre politique de l'archipel depuis le xviie siècle, la ville accueille la plupart des institutions du pays : la résidence de l'empereur du Japon, du Premier ministre, le siège de la Diète (le parlement japonais), du Cabinet, les ministères qui le constituent ainsi que toutes les ambassades étrangères.
À l'origine, Tokyo était un petit village de pêcheurs nommé Edo (« l'estuaire »). Fortifié au xve siècle, Edo devient la base militaire dushogun Tokugawa Ieyasu à la fin du xvie siècle, puis la capitale de son gouvernement. Durant l’Époque d'Edo (1603-1868), Edo se développe et est l'une des villes les plus peuplées au monde à la fin du xviiie siècle, avec une population de près d'un million d'habitants. Avec la restauration de l'Empire en 1868, elle est confortée dans son rôle de cœur politique du Japon : le château d'Edo devient la résidence de l'Empereur Meiji (Kōkyo), et la ville acquiert son nom actuel par opposition à Kyoto, l'ancienne capitale. Durant la Seconde Guerre mondiale, elle est détruite pour moitié par des bombardements aériens américains, mais est rapidement reconstruite. Dans la seconde moitié du xxe siècle, Tokyo devient unemétropole de rang mondial grâce à un fort développement industriel - notamment dans l'électronique -, et voit sa population multipliée par dix en cinquante ans.
Principal centre économique et financier du Japon, Tokyo est l'une des principales places financières asiatiques et mondiales.






Stéréotypes

Les Japonais en général sont trés bien élevé et trés obligé, nous voyons avec la façon de remercier ou dire bonjour (Pour ces choses, ils ont tendance à pencher). Ils sont également très respectueux et le courbette est plus grand quand est destiné à un aîné ou un supérieure. Ils ont aussi formel et ils parlent différemment selon avec qui ils parlent. Par exemple, ils utilisent des mots différents se ils parlent deux enfants ou un enfant parle à un grand-père.

Au Japon, la ponctualité et les horaires sont sacrés. Il est très rare de voir un mètre de retard, juste de passage principales causes, tel qu'un suicide. Dans ce cas, les voyageurs ont des preuves à présenter au travail état que au Japon, le travail est prise très au sérieux et est parfois plus important que la famille.

Les Japonais sont très aimables parce qu'ils aiment à maintenir l'harmonie sociale. Autres caractéristiques de sa personnalité, c'est qu'ils sont aussi très intelligent et très timide. 

Ils aiment beaucoup de travail en groupe.

Ils sont également très propres. Les étudiants nettoyent leurs écoles et sont responsables du jardin et de fleurs.

Physiquement les Japonais ont la peau claire et les cheveux noirs et raides. Ses yeux sont inclinés.



Autres références :

* Le sport préféré des japonais n'est pas sumo, c’ est le baseball.

* Ils portent le masque quand ils ont la grippe à ne pas infecter d'autres personnes dans les lieux publics. 

* Il existe de nombreuses religions au Japon mais les deux principales sont leshintoïsme et le bouddhisme. La plupart des Japonais s'identifient aux deuxreligions, sous la forme d'un syncrétisme ancien appelé shinbutsu shūgō ( littéralement « syncrétisme shinto-bouddhiste »).







Le drapeau du Japon est un drapeau blanc avec un grand disque rougeen son centre (représentant le soleil, plus précisément la déesse shinto du soleil Amaterasu). C'est le drapeau civil, le drapeau d'État, le pavillonmarchand et le pavillon d'État du Japon. Il est connu sous le nom deHinomaru (« drapeau au disque solaire »), ou plus officiellement sous le nom de Nisshōki  (étendard japonais) en japonais. Le rapport entre la hauteur et la largeur du drapeau est de 2:3, et le diamètre du disque est trois cinquièmes de la hauteur du drapeau.
Le drapeau Nisshōki est le drapeau national depuis la Loi relative aux drapeau et hymne nationaux, promulguée et effective depuis le 13 août 1999. Bien qu'il n'y ait pas de législation antérieure le désignant comme drapeau national, il est déjà considéré comme le drapeau national de facto du Japon. En effet deux proclamations ont été émises en 1870 par le Daijō-kan, le corps gouvernemental au début de l'ère Meiji, chacune d'entre elles ayant une disposition sur la composition du drapeau national. Un drapeau avec un disque solaire a été adopté comme drapeau national pour les navires marchands sous la Proclamation no 57 de Meiji  (publiée le 27 février 1870), et comme drapeau national utilisé par la Marine sous la Proclamation no 651 de Meiji 3 (publiée le 27 octobre 1870). L'utilisation du Hinomaru a été sévèrement limitée pendant le début de l'occupation américaine après laSeconde Guerre mondiale même si ces restrictions ont été assouplies par la suite.

La cuisine japonaise (source d'information: Wikipedia) appelée en japonais nihon ryōri ou washoku précédant l'ère Meiji, par opposition à la cuisine yōshoku répandue au Japon qui tire ses origines de l'importation et l'adaptation de plats occidentaux à la suite de l'abrogation du sakoku (fermeture du pays) par l'empereur Meiji. Elle est constituée de poissons, de riz ou de nouilles, de légumes et d'algues, généralement assaisonnés avec des condiments locaux. La saveur umami  est présente dans de nombreux plats ; la viande est en général absente de la cuisine traditionnelle. Il est fréquent de manger en accompagnement lors d'un repas une petite soupe ainsi que des légumes macérés appelés tsukemono, le tout en utilisant des baguettes. Les plats les plus typiques sont les sushi et sashimi, les nouilles udon et soba, les plats à la sauce teriyaki, ainsi que le tōfu et le nattō. Les Japonais ont aussi importé des recettes qui ont été adaptées et sont ensuite devenues des classiques comme les fritures tenpura, le katsudon, le riz au curry ou les rāmen. Il existe également des boissons (thé, alcool de riz) et des pâtisseries (wagashi) typiquement japonaises. On trouve de nombreux ustensiles spécifiques à cette cuisine, notamment des couteaux, l'art de la coupe étant très développé au Japon.

Le sushi , sushiou souchi[] est un plat japonais composé d'un riz vinaigré appelé shari (, sharicombiné avec un autre ingrédient appelé neta , neta qui est habituellement du poisson cru ou des fruits de mer. C'est, hors du Japon, un des plats emblématiques de la cuisine japonaise, alors que sa consommation n'est qu'occasionnelle au Japon. Les types de sushi les plus répandus sont les nigirizushi, constitués d'une boule de shari formée à la main recouverte d'une tranche de neta, les makizushi qui sont des rouleaux de nori renfermant du shari et d'autres ingrédients ou encore le chirashizushi composé de shari recouvert de divers accompagnements. Il ne faut pas confondre les sushis avec les sashimis, un plat japonais constitué de tranches de poisson cru.


Au Japon, la consommation de nourriture est organisée autour de 3 repas principaux :
·          le petit-déjeuner qui peut être traditionnel ou occidental,
·          le repas de midi, qui est souvent dégusté rapidement sur les lieux de travail et l'école et parfois à des horaires décalés, et est très souvent constitué de repas préparés à l'avance à la maison et emportés dans des gamelles japonaises appelées bento.
·          le repas du soir, qui est souvent plus traditionnel et respectueux de la tradition. Il est aussi habituel de manger le soir dans de petits restaurants ou bars comme les izakaya, ou encore dans des yatai.
Le menu de base partagé en famille suit la règle de l’ichijū sansai (littéralement « une soupe, trois assiettes »), soit du riz, une soupe et trois accompagnements, ou plus simplement de l’ichijū issai, avec dans ce cas un seul accompagnement. Le riz (gohan) est tellement lié à la notion d'aliment de base, que par extension il désigne aussi le repas. Les repas au restaurant ou pris sur le pouce peuvent être constitués d'un seul plat : soupe de ramen, de udon, plats de gyoza (raviolis chinois fortement aillés), yakisoba (nouilles grillées), nabe (aliments saisis à table dans une marmite de bouillon). Il existe de plus de nombreuses spécialités plus ou moins locales, certaines s'étant répandues dans l'ensemble du Japon, comme l’okonomiyaki, originaire d'Ōsaka et de Hiroshima, ou les takoyaki d'Ōsaka.
En dehors des menus du quotidien des familles japonaise consommés de nos jours, il existe différents types de cuisine traditionnelle raffinée, hérités des traditions des daimyo, des samouraïs ou de la cour impériale. Ces différentes cuisines constituent
Il existe aussi une multitude de cuisines locales, la plus célèbre étant la cuisine d'Okinawa. De nombreuses spécialités locales existent : on en trouve traces dans les chinmi, goûts rares japonais, qui sont souvent constitués de poissons ou de fruits de mer pêchés localement et préparés suivant diverses recettes locales.

                      

De plus, de nombreux plats, pâtisseries ou boissons sont liés à des fêtes japonaises. Il existe des traditions autour du Nouvel An, comme le zoni, une soupe dégustée lors du passage à la nouvelle année, les o-sechi, des plats traditionnels préparés à l'avance que l'on mange après le Nouvel An, ou encore une tradition consistant à manger du poulet aux alentours de Noël.
D'autres spécialités sont plus liées à des rituels, comme le nanakusa-gayu , un kayu aux sept-herbes mangé lors de nanakusa-no-sekku une fête ayant lieu en début d'année, les ehōmaki,de longs maki qui doivent être mangés en un seul morceau lors de setsubun, aussi appelée «fêtes des haricots», une fête de célébration du printemps, ou encore les kagami mochi, mochi dégustés lors de kagami biraki (une fête autour du saké).
Il existe aussi des boissons qui sont bues dans des occasions particulières, comme l’amazake, un alcool de riz bu lors de hina Matsuri, ou encore l’amacha, thé bu lors de hana matsuri. Enfin, il existe des sucreries et pâtisseries que les enfants dégustent lors de fêtes qui leur sont dédiées.
Les plats de la cuisine japonaise peuvent pour la plupart être catégorisés suivant la façon dont les ingrédients sont cuisinés. Cette classification prend toute son importance lorsque l'on déguste un repas suivant un type de cuisine particulier (kaiseki-ryōri, cha-kaiseki, shōjin-ryōri ou honzen-ryōri pour citer les plus connus). Dans ces repas, chaque plat doit apparaître dans un ordre précis, voire dans une position précise sur les plateaux sur lesquels ces repas sont dressés. Les ingrédients sont alors souvent laissés à la discrétion du chef (et sont souvent dictés par la saison), mais le type de technique de cuisine à employer pour les préparer est imposé. Les noms des plats contiennent souvent le nom de la technique utilisée (par exemple yaki pour yakitori) ; lorsque l'on parle des plats, le suffixe mono est accolé au nom de la technique. Parmi les techniques les plus souvent utilisées, on peut citer :
·          les plats grillés ou sautés à la poêle appelés yakimono, dont les yakitori sont l'exemple le plus célèbre ;
·          les agemono dont font partie les tenpura ;
·          les plats crus comme le sashimi et les soupes et bouillons suimono et shirumono , dont la traditionnelle soupe miso ;
·          les tsukemono qui accompagnent très souvent le menu traditionnel, qui sont des plats saumurés ou en salaison.
L'umami, se traduisant généralement par « savoureux » , est un goût omniprésent de la cuisine japonaise. Les plats mijotés ou nimono , les soupes et les plats en marmite nabemono  reposent souvent sur des bouillons à base de sauce soja, tout comme l'assaisonnement des plats. L'utilisation de cette sauce riche en umami ainsi que l'utilisation des divers ingrédients forts en umami (poisson, crustacés, champignons, chou chinois) donnent cette saveur particulière à un grand nombre de plats.

Dans la cuisine japonaise, les aliments devant être découpés pour être saisis avec des baguettes, la coupe a donc une importance capitale au Japon. Les légumes découpés artisanalement sont la marque d'une nourriture de qualité et du respect que l'on offre aux invités ; les coupes à la râpe sont considérées comme bâclées et réservées à la restauration rapide. Autour de la coupe, il existe une longue tradition de coutellerie japonaise. Les couteaux sont spécialisés par aliments et par style de coupes.
Il existe de nombreuses formes de coupes. On trouve également des découpes de décoration appelées kazari-giri, telle que hanagata-gir: en forme de fleurs. Ces découpes sont notamment utilisées par les mères japonaises pour agrémenter les bentō des enfants de personnages appelés alors charaben, diminutif de « character bentō ».
Une autre tradition connexe est le mukimono, l'art traditionnel de la sculpture sur fruits. Il consiste à graver des images traditionnelles dans la peau des fruits ou de certains légumes, ou encore à sculpter dans des légumes (comme le daikon, la carotte ou l'aubergine) des formes décoratives comme des fleurs ou des éventails.
La cuisine japonaise a une longue tradition d'assaisonnement. L'origine de l'assaisonnement japonais est attribué à Iwakamutsukari no Mikoto premier chef de la cour impériale durant la période Yayoi (-400250). Il est considéré de nos jours comme le fondateur de la culture de l'assaisonnement japonais. À cette époque, qui précède l'apparition de la sauce soja, l'assaisonnement était principalement constitué de sel et de vinaigre. Certaines recettes à base de ces assaisonnements ont perduré jusqu'à nos jours.



À la base de la cuisine japonaise, on peut citer les différentes sauces de soja (shōyu?), pouvant être de concentrations diverses et être plus ou moins sucrées, le miso qui est une base indispensable de nombre de bouillons et de soupes devenu populaire à l'époque de Kamakura (11851333), et le mirin, saké sucré pour la cuisine, qui prend la place importante qu'il occupe actuellement dans les recettes traditionnelles à l'époque Edo54. Le sucre, le sel et le vinaigre viennent compléter la liste des condiments les plus utilisés pour créer des sauces japonaises ; la plupart des sauces japonaises contiennent au moins trois ingrédients issus de cette liste.
Le wasabi, moutarde verte proche du raifort, est le condiment le plus connu à l'étranger à cause du succès des sushi. C'est un assaisonnement traditionnel du sushi : il doit être dilué dans un peu de sauce soja, et le sushi est trempé dans ce mélange côté poisson pour respecter la manière japonaise de le consommer.
Parmi les autres condiments utilisés en cuisine japonaise, on peut citer le vinaigre de riz, le ponzu  (vinaigre léger à base de citron japonais), le karashi (moutarde)?) (pâte à base d'eau et de graines de moutarde brune), le yuzukoshō ( ou yuzugoshō) (condiment fait à base du zeste de yuzu, de piments verts, parfois rouges, et de sel, qu'on laisse fermenter (spécialité de Kyūshū), le gingembre (sous la forme de beni shōga ou de gari, les shichimi togarashi  (mélange des « sept épices »), le furikake (brisures d'ingrédients en mélange pouvant comporter poissons séchés, algues, sésame, sel et sucre, et gomashio, sésame et sel, destinés à être saupoudrés sur le riz blanc), l'aonori (une algue séchée utilisée parfois sur les okonomiyaki) ou les katsuobushi (des lamelles de bonite séchées qu'on utilise sur les okonomiyaki ou encore dans la soupe miso).
On trouve également divers types d'huile (de colza, de sésame, etc), ainsi que des condiments connus internationaux qui sont adaptés localement, comme la mayonnaise. Des sauces préparées à l'avance existent aussi pour des plats appréciés des Japonais, par exemple le curry japonais.
La coutellerie japonaise tire ses origines de la fabrication des sabres japonais, les katana. La majeure partie de la coutellerie japonaise de qualité vient de la région de Sakai, où ils sont produit depuis le XIIIe siècle. Les couteaux japonais artisanaux peuvent être très coûteux et atteindre des milliers d'euros. De plus, chaque site de production voire chaque artisan possède ses propres techniques pour produire les meilleurs couteaux possible.
Outre les techniques spécifiques de production, les couteaux japonais diffèrent des classiques couteaux occidentaux par leur façon d'être équilibré. Le mouvement utilisé par un chef japonais lors de la coupe est un mouvement du bras entier, à opposer avec les techniques occidentales où le mouvement de coupe est principalement l'œuvre du poignet. Pour réduire les efforts et les douleurs qui peuvent se produire lors d'une utilisation intensive d'un couteau, il est nécessaire d'équilibrer son poids : les couteaux occidentaux sont équilibrés de manière à ce que le poids soit sur le haut du couteau, pour appuyer la coupe, alors qu'un couteau japonais sera équilibré de manière centrale. De plus, les couteaux japonais ne sont aiguisés que d'un seul côté : il existe donc des couteaux pour droitiers et pour gaucher.
Les couteaux japonais sont de diverses formes, tailles et tranchant ; chaque couteau est spécialisé dans un type précis d'aliment (l'anguille ou le poulpe par exemple). Divers types de couteaux sont produits au Japon, et peuvent être classés en trois catégories.







MUERTE BIOLÓGICA DE GÜNTER GRASS

 Aún recuerdo como si hubiera sido ayer el día en que un compañero de Derecho se mostraba absorto en la lectura de un grueso libro en la cafetería de la Facultad. Alegre y entusiasta (como era frecuente en mí en esa época) me acerqué a la mesa donde se encontraba. Me senté en la silla de al lado (él no se percataba de mi presencia, tan concentrado como estaba en la lectura). De un jalón le quité el libro de las manos:


 - ¿Qué lees con tanta entrega?

 - ¡Joder, Nayra, qué susto! Es El tambor de hojalata, de Günter Grass, premio nobel de literatura en 1999.

 Recuerdo pasar las páginas del grueso libro, era comprado en una tienda de segunda mano (donde mi amigo siempre compraba los libros) y tenía ese olor característico de libro usado, sus páginas amarillas habían sido hojeadas muchas veces ya, pero nunca las suficientes para una gran obra de la literatura. ¡Me encantaba sentir su tacto, su olor! (del libro, digo jeje).

 - ¡Pues cuando lo termines me lo pasas! - sentencié.

 Nos tomamos nuestro clásico barraquito con licor y napolitana de chocolate recién salidas del horno (¡Dios, qué ricas estaban las napolitanas de chocolate recién hechas en la Cafetería de Derecho!)  y disfrutamos de una productiva tarde de estudio - como siempre eran las tardes con este amigo mío- en la Biblioteca de Guajara (éramos de los que íbamos a la planta de Filología de la Bibilioteca Central de Guajara a estudiar porque en Derecho nos encontrábamos con demasiados amigos/as).  Un mes más tarde mi amigo me pasaba el libro y, desde la primera noche que empecé a leerlo, ¡me atrapó!




Obra maestra de la Literatura Universal. La novela está contada desde la perspectiva de su protagonista,Oscar Matzerath, un enano deforme que voluntariamente decidió dejar de crecer al cumplir los tres años. Nos cuenta su historia desde la habitación de un sanatorio y nos lleva de la mano para descubrir una Alemania asolada por el nazismo y la intolerancia. La novela es extensa pero bien vale la pena emprender su recorrido pues conoceremos en ésta uno de los más grandes (no en estatura) personajes de la literatura del siglo XX.

 El día de su tercer cumpleaños era un fecha determinante en la vida del protagonista Óscar, el pequeño que no quería crecer. No sólo era el día en que tomaba la decisión de dejar de crecer, sino que recibía su primer tambor de hojalata, objeto que habría de convertirse en compañero inseparable para el resto de sus días.Recuerdo que en las primeras páginas se deja ver que el pequeño Óscar era fruto del amor de su madre ¡por dos hombres! ¡Fruto de un trío! (¡qué innovador y adelantado a su época por parte de Günter Grass). Por esto y por otras escenas del libro, Günter Grass fue sentado ante un tribunal acusado de pornografía en su literatura. Pero salió absuelto.

 Por los tiempos siniestros que le toca vivir (2ª Guerra Mundial), Oscar deja de crecer, fisicamente, pero dueño de una lucidez mental increíble nos muestra los acontecimientos de su país y del mundo con su particular visión llena de humor inteligente e ironía. 


  La crítica mordaz de las atrocidades de la época, la ironía despiadada, el espectacular sentido del humor y la libertad creadora con que Günter Grass construye esta obra maestra convierten a El tambor de hojalata en uno de los títulos más destacados de la historia de la literatura.

 Hoy día 13 de abril de 2015 veo en las noticias que GÜNTER GRASS, SU AUTOR, HA FALLECIDO, A LA EDAD DE 87 AÑOS. No podía dejar pasar la oportunidad de escribir cuánto me gustó este libro cuando me lo leí con 20 años, ¡HACE YA LA FRIOLERA DE 16 AÑOS! Esta semana comenzaré a leérmelo por segunda vez (aunque primero tengo que hacerme con un ejemplar pues cuando me lo leí por primera vez fue prestado por mi amigo). Seguramente me lo bajaré de GOOGLE LIBROS. Aunque no es lo mismo que sentir las hojas, sí que es más práctico y rápido de conseguir. 

 Günter Grass ha fallecido, pero es sólo una muerte física, pues UN ESCRITOR DE SU EMBERGADURA JAMÁS MUERE, SU OBRA, TODO LO QUE NOS HIZO SENTIR SU ARTE Y SU MENSAJE SIEMPRE QUEDAN.



 A continuación, dejo aquí su polémico POEMA LO QUE HAY QUE DECIR:

 Por qué guardo silencio, demasiado tiempo,
sobre lo que es manifiesto y se utilizaba
en juegos de guerra a cuyo final, supervivientes,
solo acabamos como notas a pie de página.
Es el supuesto derecho a un ataque preventivo
el que podría exterminar al pueblo iraní,
subyugado y conducido al júbilo organizado
por un fanfarrón,
porque en su jurisdicción se sospecha
la fabricación de una bomba atómica.
Pero ¿por qué me prohíbo nombrar
a ese otro país en el que
desde hace años —aunque mantenido en secreto—
se dispone de un creciente potencial nuclear,
fuera de control, ya que
es inaccesible a toda inspección?
El silencio general sobre ese hecho,
al que se ha sometido mi propio silencio,
lo siento como gravosa mentira
y coacción que amenaza castigar
en cuanto no se respeta;
“antisemitismo” se llama la condena.
Ahora, sin embargo, porque mi país,
alcanzado y llamado a capítulo una y otra vez
por crímenes muy propios
sin parangón alguno,
de nuevo y de forma rutinaria, aunque
enseguida calificada de reparación,
va a entregar a Israel otro submarino cuya especialidad
es dirigir ojivas aniquiladoras
hacia donde no se ha probado
la existencia de una sola bomba,
aunque se quiera aportar como prueba el temor...
digo lo que hay que decir.
¿Por qué he callado hasta ahora?
Porque creía que mi origen,
marcado por un estigma imborrable,
me prohibía atribuir ese hecho, como evidente,
al país de Israel, al que estoy unido
y quiero seguir estándolo.
¿Por qué solo ahora lo digo,
envejecido y con mi última tinta:
Israel, potencia nuclear, pone en peligro
una paz mundial ya de por sí quebradiza?
Porque hay que decir
lo que mañana podría ser demasiado tarde,
y porque —suficientemente incriminados como alemanes—
podríamos ser cómplices de un crimen
que es previsible, por lo que nuestra parte de culpa
no podría extinguirse
con ninguna de las excusas habituales.
Lo admito: no sigo callando
porque estoy harto
de la hipocresía de Occidente; cabe esperar además
que muchos se liberen del silencio, exijan
al causante de ese peligro visible que renuncie
al uso de la fuerza e insistan también
en que los gobiernos de ambos países permitan
el control permanente y sin trabas
por una instancia internacional
del potencial nuclear israelí
y de las instalaciones nucleares iraníes.
Solo así podremos ayudar a todos, israelíes y palestinos,
más aún, a todos los seres humanos que en esa región
ocupada por la demencia
viven enemistados codo con codo,
odiándose mutuamente,
y en definitiva también ayudarnos.