Habibi ya nour el ain....

Pienso en ti... Te recuerdo, entre el humo del Narghilé te encuentro.
Los cojines árabes sostienen mis pies, Alahabibi me perderé otra vez junto a ti.
En las haimas se parará el tiempo de nuevo y el Universo será solo nuestro.
Y, una vez más, sin importar relojes, brújulas ni escaleras, habibi ya nour el ain.
Es en mis ojos donde siempre vas a estar.
Y es en nuestra eterna amistad donde más te voy a adorar.
Y es tu Cairo natal quien siempre de todo mal me librará.

Mis heridas abiertas tu dulzura egipcia sanará.
Mi amor imposible, eres el brillo de mis ojos.
Vives en mi imaginación.

Habibi, habibi, ya nour el ain.

Je pense à toi ... Je me souviens, dans la fumée de Narghilé vous trouvez.
Coussins arabes tenir mes pieds, me perdre Alahabibi de nouveau avec vous.
En haimas temps s'arrête à nouveau et de l'univers sera seulement le nôtre.
Et une fois de plus, indépendamment de montres, boussoles ou des escaliers, Habibi ya nour el ain! Il est à mes yeux, où vous serez toujours.
Et notre amitié éternelle est partout où vous allez adorer.
Et c'est votre Caire natal qui m'a toujours délivrer du mal.