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lunes, 13 de abril de 2015

PROJECT NATIONALITÉS FRANÇAIS A1 UOC

LA NATIONALITÉ JAPONAISE

(Projet développé par Ana Perpiñá Madern et Ana Nayra Gorrín Navarro)
Tokyo anciennement Edo  officiellement la préfecture métropolitaine de Tokyo  est la capitale du Japon. Avec plus de 13 millions d'habitants intra-muros en 2013 et environ 37,7 millions dans l'agglomération, elle forme l'aire urbaine la plus peuplée au monde. Située sur la côte est de l'île principale de l'archipel japonais, Honshū, Tokyo est l'une des quarante-sept préfectures du Japon. Principal centre politique de l'archipel depuis le xviie siècle, la ville accueille la plupart des institutions du pays : la résidence de l'empereur du Japon, du Premier ministre, le siège de la Diète (le parlement japonais), du Cabinet, les ministères qui le constituent ainsi que toutes les ambassades étrangères.
À l'origine, Tokyo était un petit village de pêcheurs nommé Edo (« l'estuaire »). Fortifié au xve siècle, Edo devient la base militaire dushogun Tokugawa Ieyasu à la fin du xvie siècle, puis la capitale de son gouvernement. Durant l’Époque d'Edo (1603-1868), Edo se développe et est l'une des villes les plus peuplées au monde à la fin du xviiie siècle, avec une population de près d'un million d'habitants. Avec la restauration de l'Empire en 1868, elle est confortée dans son rôle de cœur politique du Japon : le château d'Edo devient la résidence de l'Empereur Meiji (Kōkyo), et la ville acquiert son nom actuel par opposition à Kyoto, l'ancienne capitale. Durant la Seconde Guerre mondiale, elle est détruite pour moitié par des bombardements aériens américains, mais est rapidement reconstruite. Dans la seconde moitié du xxe siècle, Tokyo devient unemétropole de rang mondial grâce à un fort développement industriel - notamment dans l'électronique -, et voit sa population multipliée par dix en cinquante ans.
Principal centre économique et financier du Japon, Tokyo est l'une des principales places financières asiatiques et mondiales.






Stéréotypes

Les Japonais en général sont trés bien élevé et trés obligé, nous voyons avec la façon de remercier ou dire bonjour (Pour ces choses, ils ont tendance à pencher). Ils sont également très respectueux et le courbette est plus grand quand est destiné à un aîné ou un supérieure. Ils ont aussi formel et ils parlent différemment selon avec qui ils parlent. Par exemple, ils utilisent des mots différents se ils parlent deux enfants ou un enfant parle à un grand-père.

Au Japon, la ponctualité et les horaires sont sacrés. Il est très rare de voir un mètre de retard, juste de passage principales causes, tel qu'un suicide. Dans ce cas, les voyageurs ont des preuves à présenter au travail état que au Japon, le travail est prise très au sérieux et est parfois plus important que la famille.

Les Japonais sont très aimables parce qu'ils aiment à maintenir l'harmonie sociale. Autres caractéristiques de sa personnalité, c'est qu'ils sont aussi très intelligent et très timide. 

Ils aiment beaucoup de travail en groupe.

Ils sont également très propres. Les étudiants nettoyent leurs écoles et sont responsables du jardin et de fleurs.

Physiquement les Japonais ont la peau claire et les cheveux noirs et raides. Ses yeux sont inclinés.



Autres références :

* Le sport préféré des japonais n'est pas sumo, c’ est le baseball.

* Ils portent le masque quand ils ont la grippe à ne pas infecter d'autres personnes dans les lieux publics. 

* Il existe de nombreuses religions au Japon mais les deux principales sont leshintoïsme et le bouddhisme. La plupart des Japonais s'identifient aux deuxreligions, sous la forme d'un syncrétisme ancien appelé shinbutsu shūgō ( littéralement « syncrétisme shinto-bouddhiste »).







Le drapeau du Japon est un drapeau blanc avec un grand disque rougeen son centre (représentant le soleil, plus précisément la déesse shinto du soleil Amaterasu). C'est le drapeau civil, le drapeau d'État, le pavillonmarchand et le pavillon d'État du Japon. Il est connu sous le nom deHinomaru (« drapeau au disque solaire »), ou plus officiellement sous le nom de Nisshōki  (étendard japonais) en japonais. Le rapport entre la hauteur et la largeur du drapeau est de 2:3, et le diamètre du disque est trois cinquièmes de la hauteur du drapeau.
Le drapeau Nisshōki est le drapeau national depuis la Loi relative aux drapeau et hymne nationaux, promulguée et effective depuis le 13 août 1999. Bien qu'il n'y ait pas de législation antérieure le désignant comme drapeau national, il est déjà considéré comme le drapeau national de facto du Japon. En effet deux proclamations ont été émises en 1870 par le Daijō-kan, le corps gouvernemental au début de l'ère Meiji, chacune d'entre elles ayant une disposition sur la composition du drapeau national. Un drapeau avec un disque solaire a été adopté comme drapeau national pour les navires marchands sous la Proclamation no 57 de Meiji  (publiée le 27 février 1870), et comme drapeau national utilisé par la Marine sous la Proclamation no 651 de Meiji 3 (publiée le 27 octobre 1870). L'utilisation du Hinomaru a été sévèrement limitée pendant le début de l'occupation américaine après laSeconde Guerre mondiale même si ces restrictions ont été assouplies par la suite.

La cuisine japonaise (source d'information: Wikipedia) appelée en japonais nihon ryōri ou washoku précédant l'ère Meiji, par opposition à la cuisine yōshoku répandue au Japon qui tire ses origines de l'importation et l'adaptation de plats occidentaux à la suite de l'abrogation du sakoku (fermeture du pays) par l'empereur Meiji. Elle est constituée de poissons, de riz ou de nouilles, de légumes et d'algues, généralement assaisonnés avec des condiments locaux. La saveur umami  est présente dans de nombreux plats ; la viande est en général absente de la cuisine traditionnelle. Il est fréquent de manger en accompagnement lors d'un repas une petite soupe ainsi que des légumes macérés appelés tsukemono, le tout en utilisant des baguettes. Les plats les plus typiques sont les sushi et sashimi, les nouilles udon et soba, les plats à la sauce teriyaki, ainsi que le tōfu et le nattō. Les Japonais ont aussi importé des recettes qui ont été adaptées et sont ensuite devenues des classiques comme les fritures tenpura, le katsudon, le riz au curry ou les rāmen. Il existe également des boissons (thé, alcool de riz) et des pâtisseries (wagashi) typiquement japonaises. On trouve de nombreux ustensiles spécifiques à cette cuisine, notamment des couteaux, l'art de la coupe étant très développé au Japon.

Le sushi , sushiou souchi[] est un plat japonais composé d'un riz vinaigré appelé shari (, sharicombiné avec un autre ingrédient appelé neta , neta qui est habituellement du poisson cru ou des fruits de mer. C'est, hors du Japon, un des plats emblématiques de la cuisine japonaise, alors que sa consommation n'est qu'occasionnelle au Japon. Les types de sushi les plus répandus sont les nigirizushi, constitués d'une boule de shari formée à la main recouverte d'une tranche de neta, les makizushi qui sont des rouleaux de nori renfermant du shari et d'autres ingrédients ou encore le chirashizushi composé de shari recouvert de divers accompagnements. Il ne faut pas confondre les sushis avec les sashimis, un plat japonais constitué de tranches de poisson cru.


Au Japon, la consommation de nourriture est organisée autour de 3 repas principaux :
·          le petit-déjeuner qui peut être traditionnel ou occidental,
·          le repas de midi, qui est souvent dégusté rapidement sur les lieux de travail et l'école et parfois à des horaires décalés, et est très souvent constitué de repas préparés à l'avance à la maison et emportés dans des gamelles japonaises appelées bento.
·          le repas du soir, qui est souvent plus traditionnel et respectueux de la tradition. Il est aussi habituel de manger le soir dans de petits restaurants ou bars comme les izakaya, ou encore dans des yatai.
Le menu de base partagé en famille suit la règle de l’ichijū sansai (littéralement « une soupe, trois assiettes »), soit du riz, une soupe et trois accompagnements, ou plus simplement de l’ichijū issai, avec dans ce cas un seul accompagnement. Le riz (gohan) est tellement lié à la notion d'aliment de base, que par extension il désigne aussi le repas. Les repas au restaurant ou pris sur le pouce peuvent être constitués d'un seul plat : soupe de ramen, de udon, plats de gyoza (raviolis chinois fortement aillés), yakisoba (nouilles grillées), nabe (aliments saisis à table dans une marmite de bouillon). Il existe de plus de nombreuses spécialités plus ou moins locales, certaines s'étant répandues dans l'ensemble du Japon, comme l’okonomiyaki, originaire d'Ōsaka et de Hiroshima, ou les takoyaki d'Ōsaka.
En dehors des menus du quotidien des familles japonaise consommés de nos jours, il existe différents types de cuisine traditionnelle raffinée, hérités des traditions des daimyo, des samouraïs ou de la cour impériale. Ces différentes cuisines constituent
Il existe aussi une multitude de cuisines locales, la plus célèbre étant la cuisine d'Okinawa. De nombreuses spécialités locales existent : on en trouve traces dans les chinmi, goûts rares japonais, qui sont souvent constitués de poissons ou de fruits de mer pêchés localement et préparés suivant diverses recettes locales.

                      

De plus, de nombreux plats, pâtisseries ou boissons sont liés à des fêtes japonaises. Il existe des traditions autour du Nouvel An, comme le zoni, une soupe dégustée lors du passage à la nouvelle année, les o-sechi, des plats traditionnels préparés à l'avance que l'on mange après le Nouvel An, ou encore une tradition consistant à manger du poulet aux alentours de Noël.
D'autres spécialités sont plus liées à des rituels, comme le nanakusa-gayu , un kayu aux sept-herbes mangé lors de nanakusa-no-sekku une fête ayant lieu en début d'année, les ehōmaki,de longs maki qui doivent être mangés en un seul morceau lors de setsubun, aussi appelée «fêtes des haricots», une fête de célébration du printemps, ou encore les kagami mochi, mochi dégustés lors de kagami biraki (une fête autour du saké).
Il existe aussi des boissons qui sont bues dans des occasions particulières, comme l’amazake, un alcool de riz bu lors de hina Matsuri, ou encore l’amacha, thé bu lors de hana matsuri. Enfin, il existe des sucreries et pâtisseries que les enfants dégustent lors de fêtes qui leur sont dédiées.
Les plats de la cuisine japonaise peuvent pour la plupart être catégorisés suivant la façon dont les ingrédients sont cuisinés. Cette classification prend toute son importance lorsque l'on déguste un repas suivant un type de cuisine particulier (kaiseki-ryōri, cha-kaiseki, shōjin-ryōri ou honzen-ryōri pour citer les plus connus). Dans ces repas, chaque plat doit apparaître dans un ordre précis, voire dans une position précise sur les plateaux sur lesquels ces repas sont dressés. Les ingrédients sont alors souvent laissés à la discrétion du chef (et sont souvent dictés par la saison), mais le type de technique de cuisine à employer pour les préparer est imposé. Les noms des plats contiennent souvent le nom de la technique utilisée (par exemple yaki pour yakitori) ; lorsque l'on parle des plats, le suffixe mono est accolé au nom de la technique. Parmi les techniques les plus souvent utilisées, on peut citer :
·          les plats grillés ou sautés à la poêle appelés yakimono, dont les yakitori sont l'exemple le plus célèbre ;
·          les agemono dont font partie les tenpura ;
·          les plats crus comme le sashimi et les soupes et bouillons suimono et shirumono , dont la traditionnelle soupe miso ;
·          les tsukemono qui accompagnent très souvent le menu traditionnel, qui sont des plats saumurés ou en salaison.
L'umami, se traduisant généralement par « savoureux » , est un goût omniprésent de la cuisine japonaise. Les plats mijotés ou nimono , les soupes et les plats en marmite nabemono  reposent souvent sur des bouillons à base de sauce soja, tout comme l'assaisonnement des plats. L'utilisation de cette sauce riche en umami ainsi que l'utilisation des divers ingrédients forts en umami (poisson, crustacés, champignons, chou chinois) donnent cette saveur particulière à un grand nombre de plats.

Dans la cuisine japonaise, les aliments devant être découpés pour être saisis avec des baguettes, la coupe a donc une importance capitale au Japon. Les légumes découpés artisanalement sont la marque d'une nourriture de qualité et du respect que l'on offre aux invités ; les coupes à la râpe sont considérées comme bâclées et réservées à la restauration rapide. Autour de la coupe, il existe une longue tradition de coutellerie japonaise. Les couteaux sont spécialisés par aliments et par style de coupes.
Il existe de nombreuses formes de coupes. On trouve également des découpes de décoration appelées kazari-giri, telle que hanagata-gir: en forme de fleurs. Ces découpes sont notamment utilisées par les mères japonaises pour agrémenter les bentō des enfants de personnages appelés alors charaben, diminutif de « character bentō ».
Une autre tradition connexe est le mukimono, l'art traditionnel de la sculpture sur fruits. Il consiste à graver des images traditionnelles dans la peau des fruits ou de certains légumes, ou encore à sculpter dans des légumes (comme le daikon, la carotte ou l'aubergine) des formes décoratives comme des fleurs ou des éventails.
La cuisine japonaise a une longue tradition d'assaisonnement. L'origine de l'assaisonnement japonais est attribué à Iwakamutsukari no Mikoto premier chef de la cour impériale durant la période Yayoi (-400250). Il est considéré de nos jours comme le fondateur de la culture de l'assaisonnement japonais. À cette époque, qui précède l'apparition de la sauce soja, l'assaisonnement était principalement constitué de sel et de vinaigre. Certaines recettes à base de ces assaisonnements ont perduré jusqu'à nos jours.



À la base de la cuisine japonaise, on peut citer les différentes sauces de soja (shōyu?), pouvant être de concentrations diverses et être plus ou moins sucrées, le miso qui est une base indispensable de nombre de bouillons et de soupes devenu populaire à l'époque de Kamakura (11851333), et le mirin, saké sucré pour la cuisine, qui prend la place importante qu'il occupe actuellement dans les recettes traditionnelles à l'époque Edo54. Le sucre, le sel et le vinaigre viennent compléter la liste des condiments les plus utilisés pour créer des sauces japonaises ; la plupart des sauces japonaises contiennent au moins trois ingrédients issus de cette liste.
Le wasabi, moutarde verte proche du raifort, est le condiment le plus connu à l'étranger à cause du succès des sushi. C'est un assaisonnement traditionnel du sushi : il doit être dilué dans un peu de sauce soja, et le sushi est trempé dans ce mélange côté poisson pour respecter la manière japonaise de le consommer.
Parmi les autres condiments utilisés en cuisine japonaise, on peut citer le vinaigre de riz, le ponzu  (vinaigre léger à base de citron japonais), le karashi (moutarde)?) (pâte à base d'eau et de graines de moutarde brune), le yuzukoshō ( ou yuzugoshō) (condiment fait à base du zeste de yuzu, de piments verts, parfois rouges, et de sel, qu'on laisse fermenter (spécialité de Kyūshū), le gingembre (sous la forme de beni shōga ou de gari, les shichimi togarashi  (mélange des « sept épices »), le furikake (brisures d'ingrédients en mélange pouvant comporter poissons séchés, algues, sésame, sel et sucre, et gomashio, sésame et sel, destinés à être saupoudrés sur le riz blanc), l'aonori (une algue séchée utilisée parfois sur les okonomiyaki) ou les katsuobushi (des lamelles de bonite séchées qu'on utilise sur les okonomiyaki ou encore dans la soupe miso).
On trouve également divers types d'huile (de colza, de sésame, etc), ainsi que des condiments connus internationaux qui sont adaptés localement, comme la mayonnaise. Des sauces préparées à l'avance existent aussi pour des plats appréciés des Japonais, par exemple le curry japonais.
La coutellerie japonaise tire ses origines de la fabrication des sabres japonais, les katana. La majeure partie de la coutellerie japonaise de qualité vient de la région de Sakai, où ils sont produit depuis le XIIIe siècle. Les couteaux japonais artisanaux peuvent être très coûteux et atteindre des milliers d'euros. De plus, chaque site de production voire chaque artisan possède ses propres techniques pour produire les meilleurs couteaux possible.
Outre les techniques spécifiques de production, les couteaux japonais diffèrent des classiques couteaux occidentaux par leur façon d'être équilibré. Le mouvement utilisé par un chef japonais lors de la coupe est un mouvement du bras entier, à opposer avec les techniques occidentales où le mouvement de coupe est principalement l'œuvre du poignet. Pour réduire les efforts et les douleurs qui peuvent se produire lors d'une utilisation intensive d'un couteau, il est nécessaire d'équilibrer son poids : les couteaux occidentaux sont équilibrés de manière à ce que le poids soit sur le haut du couteau, pour appuyer la coupe, alors qu'un couteau japonais sera équilibré de manière centrale. De plus, les couteaux japonais ne sont aiguisés que d'un seul côté : il existe donc des couteaux pour droitiers et pour gaucher.
Les couteaux japonais sont de diverses formes, tailles et tranchant ; chaque couteau est spécialisé dans un type précis d'aliment (l'anguille ou le poulpe par exemple). Divers types de couteaux sont produits au Japon, et peuvent être classés en trois catégories.







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