(Projet développé
par Ana Perpiñá Madern et Ana Nayra Gorrín Navarro)
Tokyo anciennement Edo officiellement la préfecture
métropolitaine de Tokyo est la
capitale du Japon.
Avec plus de 13 millions d'habitants intra-muros en 2013 et environ 37,7 millions dans
l'agglomération, elle forme l'aire urbaine la plus peuplée au monde. Située sur la côte est de
l'île principale de l'archipel japonais, Honshū, Tokyo est l'une des quarante-sept préfectures du Japon.
Principal centre politique de l'archipel depuis le xviie siècle, la ville accueille la plupart
des institutions du pays : la résidence de l'empereur du Japon, du Premier ministre,
le siège de la Diète (le parlement japonais),
du Cabinet, les ministères qui le constituent
ainsi que toutes les ambassades étrangères.
À l'origine, Tokyo était un petit village
de pêcheurs nommé Edo (« l'estuaire »). Fortifié au xve siècle, Edo devient la base militaire dushogun Tokugawa Ieyasu à la fin du xvie siècle, puis la capitale de son
gouvernement. Durant l’Époque d'Edo (1603-1868),
Edo se développe et est l'une des villes les plus peuplées au monde à la fin du xviiie siècle, avec une population de près d'un
million d'habitants. Avec la restauration de
l'Empire en 1868, elle
est confortée dans son rôle de cœur politique du Japon : le château d'Edo devient la résidence de l'Empereur Meiji (Kōkyo), et la ville acquiert son nom
actuel par opposition à Kyoto,
l'ancienne capitale. Durant la Seconde Guerre
mondiale, elle est détruite pour moitié par des bombardements
aériens américains, mais est rapidement reconstruite. Dans la
seconde moitié du xxe siècle, Tokyo devient unemétropole de
rang mondial grâce à un fort développement industriel - notamment dans
l'électronique -, et voit sa population multipliée par dix en cinquante ans.
Principal centre économique et financier du Japon,
Tokyo est l'une des principales places financières asiatiques
et mondiales.
Stéréotypes
Les Japonais en général sont trés bien élevé et
trés obligé, nous voyons avec la façon de remercier ou dire bonjour (Pour ces
choses, ils ont tendance à pencher). Ils sont également très respectueux et le
courbette est plus grand quand est destiné à un aîné ou un supérieure. Ils ont
aussi formel et ils parlent différemment selon avec qui ils parlent. Par
exemple, ils utilisent des mots différents se ils parlent deux enfants ou un
enfant parle à un grand-père.
Au Japon, la ponctualité et les horaires sont
sacrés. Il est très rare de voir un mètre de retard, juste de passage
principales causes, tel qu'un suicide. Dans ce cas, les voyageurs ont des
preuves à présenter au travail état que au Japon, le travail est prise très au
sérieux et est parfois plus important que la famille.
Les Japonais sont très aimables parce qu'ils aiment à
maintenir l'harmonie sociale. Autres caractéristiques de sa personnalité, c'est
qu'ils sont aussi très intelligent et très timide.
Ils aiment beaucoup de travail en groupe.
Ils sont également très propres. Les étudiants nettoyent
leurs écoles et sont responsables du jardin et de fleurs.
Physiquement les Japonais ont la peau claire et les
cheveux noirs et raides. Ses yeux sont inclinés.
Autres références :
* Le sport préféré des japonais n'est pas sumo, c’ est le
baseball.
* Ils portent le masque quand ils ont la grippe à ne pas
infecter d'autres personnes dans les lieux publics.
* Il existe de nombreuses religions au Japon mais les deux principales sont leshintoïsme et le bouddhisme. La plupart des Japonais s'identifient
aux deuxreligions, sous la forme d'un syncrétisme ancien appelé shinbutsu shūgō ( littéralement
« syncrétisme shinto-bouddhiste »).
Le drapeau du
Japon est un drapeau blanc avec un grand disque rougeen
son centre (représentant le soleil, plus précisément la déesse shinto du soleil
Amaterasu). C'est le drapeau civil, le drapeau d'État, le pavillonmarchand et le pavillon d'État du Japon.
Il est connu sous le nom deHinomaru (« drapeau
au disque solaire »), ou plus officiellement sous le nom de Nisshōki (étendard japonais) en japonais. Le rapport entre la hauteur et la
largeur du drapeau est de 2:3, et le diamètre du disque est trois cinquièmes de
la hauteur du drapeau.
Le drapeau Nisshōki est le drapeau national depuis la Loi relative aux drapeau et hymne nationaux,
promulguée et effective depuis le 13 août 1999. Bien qu'il n'y ait pas de
législation antérieure le désignant comme drapeau national, il est déjà
considéré comme le drapeau national de
facto du Japon. En effet deux
proclamations ont été émises en 1870 par le Daijō-kan, le corps gouvernemental au début de
l'ère Meiji, chacune d'entre elles ayant une disposition sur la composition du
drapeau national. Un drapeau avec un disque solaire a été adopté comme drapeau
national pour les navires marchands sous la Proclamation no 57 de Meiji
(publiée le 27 février 1870), et comme drapeau national utilisé par la Marine sous la Proclamation no 651 de Meiji 3
(publiée le 27 octobre 1870). L'utilisation du Hinomaru a été sévèrement limitée pendant le
début de l'occupation américaine après laSeconde Guerre mondiale même
si ces restrictions ont été assouplies par la suite.
La cuisine
japonaise (source d'information: Wikipedia) appelée en japonais nihon ryōri ou washoku
précédant l'ère Meiji, par opposition à la
cuisine yōshoku répandue au Japon qui tire ses origines de l'importation
et l'adaptation de plats occidentaux à la suite de l'abrogation du sakoku (fermeture du pays) par l'empereur Meiji. Elle est constituée de poissons, de riz ou de
nouilles, de légumes et d'algues, généralement assaisonnés avec des condiments locaux. La saveur umami est présente dans de nombreux plats ; la
viande est en général absente de la cuisine traditionnelle. Il est fréquent de
manger en accompagnement lors d'un repas une petite soupe
ainsi que des légumes macérés appelés tsukemono, le tout en utilisant des baguettes. Les plats les plus
typiques sont les sushi et sashimi, les nouilles udon
et soba, les plats à la sauce teriyaki, ainsi que le tōfu et le nattō.
Les Japonais ont aussi importé des recettes qui ont été adaptées et sont
ensuite devenues des classiques comme les fritures tenpura,
le katsudon, le riz au curry ou les rāmen. Il existe également des boissons (thé, alcool de riz)
et des pâtisseries (wagashi) typiquement
japonaises. On trouve de nombreux ustensiles spécifiques à cette cuisine,
notamment des couteaux, l'art de la coupe étant
très développé au Japon.
Le sushi
ou
souchi[]
est un plat japonais
composé d'un riz vinaigré appelé shari (combiné
avec un autre ingrédient appelé neta qui est
habituellement du poisson cru ou des fruits de mer. C'est, hors du Japon, un
des plats emblématiques de la cuisine
japonaise, alors que sa consommation n'est qu'occasionnelle au Japon.
Les types de sushi les plus répandus sont les nigirizushi,
constitués d'une boule de shari
formée à la main recouverte d'une tranche de neta, les makizushi
qui sont des rouleaux de nori renfermant du shari et d'autres ingrédients ou
encore le chirashizushi
composé de shari recouvert de divers accompagnements. Il ne faut pas
confondre les sushis avec les sashimis, un
plat japonais constitué de tranches de poisson cru.
Au Japon, la
consommation de nourriture est organisée autour de 3 repas principaux :
·
le
petit-déjeuner qui peut être traditionnel ou occidental,
·
le repas
de midi, qui est souvent dégusté rapidement sur les lieux de travail et l'école
et parfois à des horaires décalés, et est très souvent constitué de repas
préparés à l'avance à la maison et emportés dans des gamelles japonaises appelées bento.
·
le repas
du soir, qui est souvent plus traditionnel et respectueux de la tradition. Il
est aussi habituel de manger le soir dans de petits restaurants ou bars comme
les izakaya, ou encore dans des yatai.
Le menu de base partagé en famille suit la
règle de l’ichijū sansai (littéralement « une soupe, trois assiettes »),
soit du riz, une soupe et trois accompagnements, ou plus simplement de l’ichijū
issai, avec dans ce cas un seul accompagnement. Le riz (gohan) est tellement lié à la notion d'aliment de
base, que par extension il désigne aussi le repas. Les repas au restaurant ou
pris sur le pouce peuvent être constitués d'un seul plat : soupe de ramen, de udon,
plats de gyoza (raviolis chinois fortement
aillés), yakisoba (nouilles grillées), nabe (aliments saisis à table dans une
marmite de bouillon). Il existe de plus de nombreuses spécialités plus ou moins
locales, certaines s'étant répandues dans l'ensemble du Japon, comme l’okonomiyaki, originaire d'Ōsaka et de Hiroshima,
ou les takoyaki d'Ōsaka.
En dehors des menus du quotidien des familles japonaise
consommés de nos jours, il existe différents types de cuisine traditionnelle
raffinée, hérités des traditions des daimyo,
des samouraïs ou de la cour impériale. Ces
différentes cuisines constituent
Il existe aussi
une multitude de cuisines locales, la plus célèbre étant la cuisine d'Okinawa. De nombreuses
spécialités locales existent : on en trouve traces dans les chinmi, goûts rares japonais, qui sont souvent
constitués de poissons ou de fruits de mer pêchés localement et préparés
suivant diverses recettes locales.
De plus, de
nombreux plats, pâtisseries ou boissons sont liés à des fêtes
japonaises. Il existe des traditions autour du Nouvel An, comme le zoni,
une soupe dégustée lors du passage à la nouvelle année, les o-sechi, des plats traditionnels préparés à l'avance
que l'on mange après le Nouvel An, ou
encore une tradition consistant à manger du poulet aux alentours de Noël.
D'autres
spécialités sont plus liées à des rituels, comme le nanakusa-gayu , un kayu aux sept-herbes mangé lors de nanakusa-no-sekku une fête ayant lieu en
début d'année, les ehōmaki,de longs maki qui doivent être mangés en un seul morceau
lors de setsubun, aussi appelée «fêtes des
haricots», une fête de célébration du printemps, ou encore les kagami mochi, mochi
dégustés lors de kagami biraki (une
fête autour du saké).
Il existe aussi
des boissons qui sont bues dans des occasions particulières, comme l’amazake, un alcool
de riz bu lors de hina Matsuri, ou
encore l’amacha, thé bu lors de hana matsuri. Enfin, il existe des sucreries
et pâtisseries que les enfants dégustent lors de fêtes qui leur sont dédiées.
Les plats de la
cuisine japonaise peuvent pour la plupart être catégorisés suivant la façon
dont les ingrédients sont cuisinés. Cette classification prend toute son
importance lorsque l'on déguste un repas suivant un type de cuisine particulier
(kaiseki-ryōri, cha-kaiseki,
shōjin-ryōri ou honzen-ryōri pour citer les plus connus).
Dans ces repas, chaque plat doit apparaître dans un ordre précis, voire dans
une position précise sur les plateaux sur lesquels ces repas sont dressés. Les
ingrédients sont alors souvent laissés à la discrétion du chef (et sont souvent
dictés par la saison), mais le type de technique de cuisine à employer pour les
préparer est imposé. Les noms des plats contiennent souvent le nom de la
technique utilisée (par exemple yaki pour yakitori) ; lorsque
l'on parle des plats, le suffixe mono est accolé au nom de la technique.
Parmi les techniques les plus souvent utilisées, on peut citer :
·
les plats
grillés ou sautés à la poêle appelés yakimono,
dont les yakitori sont l'exemple le plus célèbre ;
·
les plats
crus comme le sashimi et les soupes et
bouillons suimono et shirumono , dont
la traditionnelle soupe miso ;
·
les tsukemono qui accompagnent très souvent le menu
traditionnel, qui sont des plats saumurés ou en salaison.
L'umami, se traduisant généralement par « savoureux »
, est un goût omniprésent de la cuisine japonaise. Les plats mijotés ou nimono , les soupes et les plats en marmite nabemono
reposent souvent sur des bouillons à base de sauce
soja, tout comme l'assaisonnement des plats. L'utilisation de cette sauce
riche en umami ainsi que l'utilisation des divers ingrédients forts en umami
(poisson, crustacés,
champignons, chou chinois) donnent cette saveur particulière à
un grand nombre de plats.
Dans la cuisine
japonaise, les aliments devant être découpés pour être saisis avec des baguettes, la coupe a donc une
importance capitale au Japon. Les légumes découpés artisanalement sont la
marque d'une nourriture de qualité et du respect que l'on offre aux invités ;
les coupes à la râpe sont considérées comme bâclées et réservées à la
restauration rapide. Autour de la coupe, il existe une longue tradition de coutellerie japonaise. Les couteaux sont
spécialisés par aliments et par style de coupes.
Il existe de
nombreuses formes de coupes. On
trouve également des découpes de décoration appelées kazari-giri, telle
que hanagata-gir: en forme de fleurs. Ces découpes sont notamment
utilisées par les mères japonaises pour agrémenter les bentō des enfants de personnages appelés alors charaben,
diminutif de « character bentō ».
Une autre
tradition connexe est le mukimono, l'art
traditionnel de la sculpture sur fruits. Il consiste à graver des images
traditionnelles dans la peau des fruits ou de certains légumes, ou encore à
sculpter dans des légumes (comme le daikon, la carotte ou l'aubergine)
des formes décoratives comme des fleurs ou des
éventails.
La cuisine
japonaise a une longue tradition d'assaisonnement. L'origine de
l'assaisonnement japonais est attribué à Iwakamutsukari no Mikoto
premier chef de la cour impériale durant la période
Yayoi (-400 – 250). Il est
considéré de nos jours comme le fondateur de la culture de l'assaisonnement
japonais. À cette époque, qui précède l'apparition de la sauce soja,
l'assaisonnement était principalement constitué de sel et de vinaigre.
Certaines recettes à base de ces assaisonnements ont perduré jusqu'à nos jours.
À la base de la
cuisine japonaise, on peut citer les différentes sauces
de soja (shōyu?),
pouvant être de concentrations diverses et être plus ou moins sucrées, le miso qui est une base indispensable de nombre de
bouillons et de soupes devenu populaire à l'époque de Kamakura (1185 – 1333), et le mirin, saké sucré pour
la cuisine, qui prend la place importante qu'il occupe actuellement dans les
recettes traditionnelles à l'époque Edo54. Le sucre,
le sel et le vinaigre
viennent compléter la liste des condiments les plus utilisés pour créer des
sauces japonaises ; la plupart des sauces japonaises contiennent au moins trois
ingrédients issus de cette liste.
Le wasabi, moutarde verte proche du raifort, est le condiment le plus connu à l'étranger à
cause du succès des sushi. C'est un assaisonnement
traditionnel du sushi : il doit être dilué dans un peu de sauce soja, et le
sushi est trempé dans ce mélange côté poisson pour respecter la manière
japonaise de le consommer.
Parmi les
autres condiments utilisés en cuisine japonaise, on peut citer le vinaigre de riz, le ponzu (vinaigre léger à base de citron japonais),
le karashi (moutarde)?) (pâte à base d'eau et de graines de moutarde brune), le yuzukoshō ( ou yuzugoshō) (condiment
fait à base du zeste de yuzu, de piments verts, parfois rouges, et de sel, qu'on laisse
fermenter (spécialité de Kyūshū), le gingembre (sous la forme de beni shōga ou de gari,
les shichimi togarashi (mélange des « sept épices »), le furikake (brisures d'ingrédients en mélange
pouvant comporter poissons séchés, algues, sésame, sel et sucre, et gomashio, sésame et sel, destinés à être
saupoudrés sur le riz blanc), l'aonori (une algue
séchée utilisée parfois sur les okonomiyaki) ou
les katsuobushi (des lamelles de bonite séchées qu'on utilise sur les okonomiyaki ou encore dans la soupe miso).
On trouve
également divers types d'huile (de colza, de sésame, etc), ainsi que des condiments
connus internationaux qui sont adaptés localement, comme la mayonnaise. Des sauces préparées à l'avance
existent aussi pour des plats appréciés des Japonais, par exemple le curry japonais.
La coutellerie
japonaise tire ses origines de la fabrication des sabres japonais,
les katana. La majeure partie de la
coutellerie japonaise de qualité vient de la région de Sakai,
où ils sont produit depuis le XIIIe siècle. Les couteaux japonais
artisanaux peuvent être très coûteux et atteindre des milliers d'euros. De
plus, chaque site de production voire chaque artisan possède ses propres
techniques pour produire les meilleurs couteaux possible.
Outre les
techniques spécifiques de production, les couteaux japonais diffèrent des
classiques couteaux occidentaux par leur façon d'être équilibré. Le mouvement
utilisé par un chef japonais lors de la coupe est un mouvement du bras entier,
à opposer avec les techniques occidentales où le mouvement de coupe est
principalement l'œuvre du poignet. Pour réduire les efforts et les douleurs qui
peuvent se produire lors d'une utilisation intensive d'un couteau, il est nécessaire
d'équilibrer son poids : les couteaux occidentaux sont équilibrés de manière à
ce que le poids soit sur le haut du couteau, pour appuyer la coupe, alors qu'un
couteau japonais sera équilibré de manière centrale. De plus, les couteaux
japonais ne sont aiguisés que d'un seul côté : il existe donc des couteaux pour
droitiers et pour gaucher.
Les couteaux
japonais sont de diverses formes, tailles et tranchant ; chaque couteau est
spécialisé dans un type précis d'aliment (l'anguille ou le poulpe par exemple).
Divers types de couteaux sont produits au Japon, et peuvent être classés en
trois catégories.
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